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Eh bien non !

Les quatre mois les plus difficiles sont décembre, février, mai et juillet.

Mais c’est un cliché de plus de cassé : bravo ! 

       L'été est donc tout aussi difficile que l'hiver lorsqu'on est sans domicile !

 

       Surtout, l’été, les personnes sans domicile souffrent davantage de l’isolement.

 

Source : Collectif Les Morts de la Rue (ce sont les quatre mois où le collectif recense le plus de décès)

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Les bénévoles de La Cloche créent du lien social avec les personnes sans domicile, été comme hiver !

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Pour aller plus loin ...

L’hiver, c’est la politique dite “du thermomètre” : on augmente le nombre de places d'hébergement d'urgence, les accueils de jour allongent leurs horaires et les initiatives citoyennes se multiplient. De plus, la trêve hivernale gèle les expulsions locatives.     

En été, c’est l’inverse : il y a une réduction des places, les personnes sans domicile baissent la garde alors qu’ils sont tout aussi fragilisés (hyperthermie, déshydratation, chocs thermiques dus aux écarts de température entre le jour et la nuit), beaucoup de structures associatives ferment faute de bénévoles, les citoyens sont moins sensibles et généreux.

C'est ici !

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